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Véronique Rauzy

RÉGÉNÉRATION – ACTIVATION

Activer nos espaces biologiques dormants pour déployer la conscience





Je reçois des informations depuis plusieurs semaines, concernant l’activation de nos potentiels biologiques pour accueillir l’évolution de la conscience.


Je suis en train de rédiger un long article, qui me prend du temps tant les infos sont nombreuses, pointues et demandent d’être détaillées.


En attendant de le partager, voici les idées principales qui en émergent.


La Conscience est universelle, elle est l’Esprit avant les Formes.


Mais pour être expérimentée sur la plan de la matière, il lui faut un support fractal matériel, biologique.


Il y a un décalage au niveau de notre conscience, un filtre parfois appelé le voile de l’oubli, qui entrave la réception claire des informations présentes dans le champ unitaire (le champ scalaire dont je vous ai déjà parlé dans plusieurs articles).


Nos corps ont plusieurs supports biologiques pour la conscience.


Dans nos génomes, le support pour la conscience est la molécule d’ADN, qui se présente sous la forme d’une spirale et qui génère de la lumière (des biophotons), des ondes stables (support holographique de mémoire), de la matière (par le codage ADN-ARN-protéine) et un rayonnement exprimant la signature vibratoire originelle. Grâce à son onde de forme spiralée, cette molécule a un accès direct au champ scalaire et développe un communication avec et dans ce champ grâce à ses séquences codées comme un langage (notamment ce qui est considéré comme l’ADN poubelle par les chercheurs matérialistes). Elle est sensible à toutes ondes scalaires, notamment les ondes longitudinales acoustiques (le Son, le Verbe, la parole alignée et vibrante). Toutes les molécules d’ADN d’un même corps sont informées simultanément, c’est une structure globale, holographique.


Dans nos cerveaux, à un autre niveau, se trouvent plusieurs réseaux captant et supportant la conscience.


Il y a le réseau neuronal, le plus connu et le plus étudié, qui fonctionne par électromagnétisme entre les neurones et les synapses.


Il y a le réseau astrocytaire, l’univers étoilé dans nos têtes ! C’est sur ce réseau que je reçois le plus d’infos actuellement. Le réseau astrocytaire fonctionne par instantanéité, accès direct au champ scalaire, il est le plasticien du cerveau. Le réseau astrocytaire comporte plusieurs sortes d’astrocytes (les cellules-étoiles), dont certaines ne sont développées que chez les êtres humains et pas chez les autres animaux. Ces variétés d’astrocytes font les connexions entre le champ scalaire et le champ binaire électromagnétique. Ils font la passerelle pour moduler les niveaux d’information.


Dans nos cerveaux, autre chose nous distingue des animaux : c’est le développement du cortex, notamment le cortex préfrontal. Dans cette zone s’élabore la synthèse entre raisonnement et intuition, entre pensées et émotions, entre abstraction et logique. C’est le lieu de l’adaptation entre l’intérieur et l’extérieur, l’espace biologique de l’évolution de la conscience sur ce plan.


Pour le cerveau comme pour l’ADN, les recherches scientifiques actuelles estiment que nous ne fonctionnons qu’avec une petite partie de ces espaces biologiques, que la majorité est endormie ou inactivée. C’est vrai d’une part car ils ne trouvent que ce qu’ils cherchent, et tout n’est pas matière, loin de là ; c’est vrai d’autre part car nous sommes en passe de faire un saut qualitatif évolutionnaire. Nos corps ont déjà à disposition les espaces biologiques pour cela, mais ils sont encore inactifs.


Le voile de l’oubli se trouve dans le filtre électromagnétique du réseau neuronal. C’est dans cet espace que l’information est ralentie, amoindrie, bipolarisée, dosée. C’est par là que ça passe de l’unité – éternelle, infinie – à la dualité – temporalisée, finie.


La levée du voile de l’oubli est permise par l’activation biologique du réseau astrocytaire du cortex préfrontal. Cela se passe à la fin des processus de kundalini dans ce qui est appelé l’illumination, quand les deux ondes binaires symbolisées par les serpents Ida et Pingala se sont neutralisées et unifiées au niveau du cerveau. Alors l’accès au champ global est ouvert, la structure du cerveau change et de nouvelles fonctionnalités se révèlent et s’expérimentent.


Je reviendrai en détail sur tout cela dans un prochain long article, avec notamment des propositions pour faciliter le déploiement de la communication intérieure avec le génome et pour connecter le réseau astrocytaire, l’Univers étoilé qui rayonne au fond de nos têtes.
















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