La fréquence du « Meilleur Choix »

À la jonction des diagonales du Désir et du Récit, au centre du nouveau plateau d’élixirs, la fréquence du « meilleur choix » en est l’Alpha et l’Oméga : à la fois le sésame préalable du bon positionnement initial, permettant de faire converger les dynamiques des autres fréquences vers sa quête ; et à la fois le résultat final de tout le processus d’élucidation des désirs et des récits qui va permettre l’accomplissement optimal et qualitatif de l’expérience.

Pour commencer à le mettre en vibration et vous permettre de vous syntoniser sur ce nouveau plateau de fréquences, voici quelques élaborations préliminaires à méditer.

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L’idée de « choix » implique que l’être humain bénéficie d’une capacité de décider le concernant.

Cela signifie qu’il n’est pas seulement déterminé par un destin, un environnement, des conditionnements, des programmes, des matrices, des systèmes relationnels, mais qu’il est doté d’un centre PUISSANT, dans le sens capable d’être auteur-scénariste, réalisateur et acteur principal de son expérience.

Pour autant il est indispensable de ne pas se leurrer : tant qu’il n’est pas lucide, assaini, émancipé et fort, sa marge de puissance est dérisoire et ce qu’il croit être ses choix éclairés ne sont que des leurres couvrant des réactions et réponses conditionnées à d’autres puissances que lui-même.

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Au niveau des trames d’existence, cette possibilité d’un choix effectif nous envoie dans le PLAN CAUSAL : une dimension antérieure aux chaînes des conséquences ; le lieu des causes premières, capables d’influer sur les faits de l’expérience et de manifester des effets dans la réalité.

L’idée que l’être humain ait accès au plan causal implique la capacité créatrice, avec toute la responsabilité que cela incombe sur la qualité éthique de ce qui est créé.

Cet accès au plan causal est relatif selon le niveau de congruence interne de l’être. Plus l’être connaît ses conflits et contradictions internes et est capable de les harmoniser et faire converger, plus il est puissant dans le causal.

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L’idée de « meilleur choix » implique que tous les choix ne sont pas égaux et ne se valent pas.

Cette idée forte s’oppose à l’idéologie relativiste et nihiliste, niant la distinction entre le bien et le mal, le sain et le malsain, le vrai et le faux.

Ici une DIMENSION ÉTHIQUE FONDATRICE, foncière, fondamentale est posée.

Cela renvoie au tamis de Socrate, une allégorie proposant de réfléchir avant de parler si ce que nous allons dire est vrai, bon et utile.

Il s’agit de noblesse de l’âme, de noblesse humaine, d’exigence éthique.

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L’idée de « meilleur choix » parle du fait qu’il y a plusieurs choix possibles et qu’il faut décider d’en privilégier un. Cela nous emmène dans la DYNAMIQUE DE PRIORISATION. Le processus consistant à hiérarchiser et prioriser va constituer un flux convergent d’énergie renforçant la puissance causale.

La priorisation correcte se fera grâce à l’élucidation des désirs et des récits internes, par une INTROSPECTION POUSSÉE amenant de la clarification dans les espaces au préalable inconscients mais néanmoins actifs dans le processus décisionnel. Cela permettra que le meilleur choix soit décidé en sachant sur quel référentiel il se fonde et quelle motivation le justifie.

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L’élixir du « meilleur choix » est soutenu par un cristal œil de faucon et des fleurs de persil.