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Véronique Rauzy

INITIATION : L’HEURE DU CHOIX ?




Bonjour chers amis, quelques remarques en partage…


Une initiation a pour objet de nous faire évoluer vers plus de maturité, de souveraineté et de responsabilité. Ce que j’entends de la situation actuelle nous invite à cela : choisissons-nous de continuer à nourrir le vieux paradigme de prédation, ou sommes-nous disposés et d’accord pour nous consacrer à générer et développer le nouveau paradigme de coopération ?


L’agression du 12 juillet a révélé un beau visage de prédateur à la recherche de ses proies. Avez-vous observé vos réactions émotionnelles ? Cela a-t-il déclenché en vous des attitudes comme la sidération, la fuite ou la riposte ?


La prédation est l’essence du vieux paradigme, qui nous maintient dans la dualité bipolaire (électromagnétique), entre pulsion de mort et pulsion de survie. J’ai déjà écrit beaucoup à ce sujet, je vous invite à regarder mes autres textes pour de plus amples développements, mais je vais rappeler ici la synthèse.


La pulsion de survie correspond à l’âge de l’enfance, à l’impuissance, à la dépendance.

La pulsion de mort correspond à l’âge de l’adolescence, à la toute-puissance / le pouvoir-sur, à l’indépendance.


Ces deux revers de la médaille sont gérés par l’émotion de la peur et la volonté de contrôle.


La pulsion de vie correspond à l’âge adulte, le pouvoir-de, l’interdépendance.

Elle est notre prochaine étape évolutionnaire, et c’est cela qui est mis à l’épreuve de l’initiation.


Nous avons pu voir toute la pulsion de mort à l’œuvre à l’extérieur le 12 juillet : cherchant à générer du choc, du chaos, de la division, de la peur et de l’urgence, se délectant de son illusion de toute-puissance.


En réponse électromagnétique, les réactions de pulsion de survie… « comment je vais faire pour ceci ou cela, mon travail, mes projets, mon confort, mes habitudes ? »


Le prédateur plonge la proie dans une obligation de se positionner selon sa provocation.


La pulsion de vie ne se trouve pas dans la réaction. Elle se trouve dans nos Cœurs, dans nos boussoles internes, dans notre congruence et notre capacité d’aligner nos valeurs, nos paroles et nos actes.


Pour passer la porte étroite, personne d’extérieur ne nous tiendra la main. Le choix se passe à l’intérieur, la décision est intime et avant tout individuelle. Sommes-nous prêts à bâtir le nouveau monde EN RENONÇANT aux bénéfices secondaires de l’ancien paradigme ? Si oui, comment nous donner les moyens de nos choix ?


Si nous ne sommes pas prêts, avons-nous bien considéré ce qui nous attend ? La fracture causée le 12 juillet a rompu le contrat social précédent, la coercition est venue en pleine lumière des projecteurs et prédit des lendemains qui déchantent : le père fouettard jouit des peurs et tourments des petits enfants.


Si nous ne voulons pas assumer nos responsabilités, nous obéirons encore longtemps à une escalade de restrictions. Pire que cela, je vous rappelle que se laisser injecter dans le corps un produit expérimental fait de nous des cobayes, et que les effets sur notre immunité se verront à terme, pas nécessairement dans les jours ou semaines suivant la piqûre.


Chacun est face à lui-même.


Le piège est puissamment élaboré. Il est difficile quand on a été conditionné au contrat social d’oser en sortir, de s’en remettre en dedans, d’écouter la voix de la Vie qui pulse en nous et de l’honorer.


Je perçois ce moment comme un tournant, où plus que jamais nous devons développer notre lucidité, notre discernement, et nous donner les moyens de nos choix.


********


Quelques rappels, pour voir à l’intérieur et à l’extérieur :


– notre intégrité est directement liée à notre immunité. Quels que soient nos choix, qu’ils soient cohérents et affirmés depuis un plein accord et pas sous la contrainte ou le chantage…


– l’urgence est, comme la peur, mauvaise conseillère. Seul le diable est pressé…


– la peur est l’arme de ceux qui veulent manipuler. Regardons nos peurs : nous sentons-nous en sécurité en nous, dans nos vies ? Peur de manquer, d’être isolé, banni, malade, altéré… de souffrir, de mourir, de se perdre, d’errer… Comment améliorer cela, que bouger dans nos positionnements ?


– Par quoi sommes-nous tenus ? Par le confort ? Par l’hypnose médiatique ? Par le conditionnement social ? Par les habitudes ? Que sommes-nous prêts à perdre ? à lâcher ? à oser ? Voulons-nous assumer notre liberté ? Ou préférons-nous la tiède (et illusoire) facilité d’être au sein du troupeau ?


– le diable est celui qui divise, diabol en latin. Celui qui sépare, altère.


– je vous renvoie aux travaux du psychologue Stanley Milgram sur la « soumission à l’autorité » afin de comprendre ce qui avait engendré dans le peuple allemand une adhésion aux politiques nazies pendant la Seconde Guerre mondiale, et toutes les chaînes de responsabilité dans lesquelles chacun s’en remettait à une autorité supérieure pour justifier ses actes. Dans des études expérimentales menées pendant des années, Stanley Milgram a étudié la propension humaine à déléguer sa responsabilité avec la célèbre expérience du faux test de mémoire, où il était demandé au testé d’envoyer des décharges électriques de plus en plus fortes à celui qui répondait mal aux questions, jusqu’à lui envoyer une décharge mortelle. Ces situations généraient de profonds conflits internes, qui dans l’immense majorité des cas se sont conclus par une obéissance à « la blouse blanche », le supposé spécialiste qui sait mieux que nous ce que nous devons faire, et auquel nous obéissons par peur du conflit et refus d’assumer nos actes.


– par le chantage à « vous ne pourrez plus faire ceci ou cela », on prétend pousser les réfractaires à basculer en survie et ne plus pouvoir rien faire, mais regardons bien ce qui nous est interdit. Avons-nous besoin de cela ? Sommes-nous essentiellement des consommateurs ? Personnellement je me passerai de me présenter aux endroits interdits. J’ai mis en place une vie qui me permet de ne pas être sensible à ces arguments. C’est bien se considérer comme un consommateur qui me semble être de la survie. La vie est bien plus vaste, elle se découvre hors des sentiers battus. Nous bâtirons de nouveaux espaces sociaux.


*****


La dystopie et le chaos sont maintenant activés par la pulsion de mort destructrice.


Est-ce la fin du monde, la fin d’un monde, la fin de la liberté, l’occasion de générer de nouveaux rapports humains, une nouvelle société ?


N’oublions pas qu’en toute transition majeure l’ancien doit s’effondrer, ce qui met en jeu la pulsion de mort (la destruction). Mais cette pulsion destructrice doit être au service de la vie, du renouveau, du neuf.


Il y a l’agenda des psychopathes qui mettent la pression, mais il y a aussi et surtout nos propres rythmes, nos propres actualisations, nos propres vies individuelles et relationnelles. Occupons-nous de la qualité de nos vies, respectons les choix de chacun et prenons de la perspective pour voir clairement la situation. Nous sommes venus vivre et évoluer ; pas survivre et involuer. Courage, nos Cœurs à l’ouvrage !






1 Comment


benoit.golard
benoit.golard
Nov 14, 2022

Heureux de cet article! Ici en Belgique, il y'a eu une tentative de vaccination obligatoire suite à la même propagande que chez vous. Là, j'ai vraiment paniqué car mes choix étaient clairs dès le début à ce sujet, (merci à ce qu'il me reste d'instinct!) Ensuite, ce qui me sidère encore actuellement et qui n'est pas réglé du tout après cette tempête, c'est l'esprit d'obéissance. Les révoltés du climat, le milieu culturel, les artistes, les philosophes..., qui seraient sensés avoir compris non pas le nazisme, le fascisme, la pollution, mais les mécanismes sous-jacents à cela, la peur, l'aveuglement menant à l'obéissance. En ce, compris les infirmières qui se tuent à obéir. Voici bien une expérience de vie réel pour moi,…

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