CRISE SANITAIRE ET PULSION DE VIE
L’être humain est mu par trois pulsions : la pulsion de vie, la pulsion de survie et la pulsion de mort.
Dans un équilibre harmonieux, ces trois pulsions rythment et dynamisent l’expérience incarnée, facilitant l’évolution et les changements.
Mais dans le monde actuel, de manière décuplée avec la crise sanitaire de ces dernières années, les énergies de peur et de prédation ont entravé ce fonctionnement trinitaire, en le polarisant sur une dualité basée sur les pulsions de survie et de mort. La pulsion de vie a été reléguée à l’arrière-plan, comme idéal utopique.
Quand nous sommes alignés correctement, la pulsion de vie revient au premier plan, et les pulsions de survie et de mort sont à son service.
Décrivons ces trois espaces en détail.
La PULSION DE SURVIE représente l’âge de l’enfant irresponsable, ayant besoin de l’extérieur pour se nourrir et grandir. Elle est associée à l’impuissance et à la dépendance. Elle favorise la reproduction, les nécessités du corps physique et est manifestée par l’ego gardien. Peur et refus du changement. Rigidité. Volonté que rien ne bouge, que tout reste toujours pareil. État de manque. Rôle de la proie, dépendance liée à la peur de mourir par manque de ressources énergétiques. Inscrite dans la matière la plus dense, le cerveau reptilien, la phylogénétique, le poids du passé.
La PULSION DE MORT représente l’âge de l’adolescent irresponsable, en rébellion contre l’extérieur et testant sa capacité de destruction. Elle est associée au fantasme de toute-puissance (pouvoir-sur) et à la volonté d’indépendance. Elle favorise la destruction, le chaos et est manifestée par la « tentation du mal ». Peur d’aimer et auto-sabotage. Expériences toxiques. Confusion. Nihilisme. Refus de vivre, déni d’incarnation, fascination pour la mort et le mal. Pouvoir-sur, rôle du prédateur, indépendance liée à la peur. Inscrite dans l’agitation de l’illusion électromagnétique sinusoïdale, les projections concernant le futur/l’avenir bloquées sur l’angoisse profonde d’une inéluctable fin, dans l’illusion que la vie se borne au matérialisme, à l’incarnation en trois dimensions.
La PULSION DE VIE représente l’âge adulte, la maturité responsable, sachant générer les ressources nécessaires. Elle est associée au pouvoir-de et à l’interdépendance avec l’environnement. Elle est régie par l’Amour. Elle favorise la création, l’harmonie et est manifestée par la Présence. Acceptation de l’expérience impermanente, circulation de l’énergie Amour, communion avec tout le vivant, reliance dans l’Unité. Fluidité, clarté, simplicité. Pouvoir de soutenir la continuité du vivant, neutralité et simplicité relationnelle. Le présent, la présence, le flow.
SURVIE enfant impuissance dépendance
MORT adolescent toute-puissance indépendance
VIE adulte pouvoir-de interdépendance
En chacun de nous, nous pouvons reconnaître ces trois pulsions en interaction, au fil des situations et du niveau de conscience sur lequel nous sommes branchés.
Les pulsions de survie et de mort, si elles se polarisent, nous enferment dans un circuit duel basé sur la peur, qui rétrécit notre expérience et l’enferme dans une boucle de reproduction. La polarisation crée une agitation telle que cela fait barrière au reste, cela crée un voile, un mur autour de ce qui est polarisé, isolant.
POLARISATION
Qu’est-ce que la polarisation ? C’est un pattern, un modèle énergétique basé sur deux pôles présentés comme antagonistes et indépassables. Lorsqu’on est pris dans une dualité, dans une polarisation, nous sommes attrapés dans un circuit fermé, avec l’illusion que c’est la seule réalité et qu’on ne peut pas en sortir. Ici c’est la croyance qu’on est soit un prédateur, soit une proie, et qu’il n’existe pas d’autre manière d’être au monde, que c’est la « nature humaine », la vie sur Terre, la civilisation, toutes sortes d’excuses de ce type présentées comme indépassables et inéluctables… Cette dualité polarisée va nous faire rebondir incessamment d’un côté et de l’autre, alternant les rôles de proie et prédateur à travers le triptyque victime-bourreau-sauveur, et nous allons voir que dans ce triptyque tous les rôles jouent à la fois la proie et le prédateur…
À propos d’une énergie bipolaire, il est intéressant de faire le parallèle avec le champ électromagnétique dans lequel les ondes circulent de manière sinusoïdale, montant et descendant tour à tour entre les deux pôles positif et négatif, délimités par leur amplitude. Ce type d’onde circule en perpendiculaire à sa direction et a une forte déperdition d’énergie et d’information, et le champ électromagnétique génère beaucoup d’agitation, de frottements et d’interférences, ne parvenant que rarement à l’accord et la symphonie…
À propos de bipolarité, on peut également observer la psychose maniaco-dépressive, dont le malade qui en souffre alterne les phases d’extrême excitation et exubérance, avec une énergie débordante et très agitée, et les phases d’extrême inertie et repli, avec une énergie vidée et à plat. Dans l’une comme l’autre de ces phases il se révèle en souffrance car il doit gérer des pics, des « trop » et des décalages importants avec son entourage et son environnement. Je ne fais pas de lien entre cette maladie et la prédation, c’est juste pour donner un exemple d’alternance de phases qui sont des facettes contraires, et que le sujet ne peut contrôler son passage dans ces phases.
Par ailleurs, on peut être engagé dans une polarisation sans être systématiquement dans les extrêmes des pôles. Certains s’avèrent des « proies passagères » et d’autres des « prédateurs du dimanche ». Pour schématiser, si on tend une ligne avec des degrés, et qu’à chaque bord on pose les extrémités, on peut naviguer partout sur cette ligne, pas forcément rester aux bords, mais on sera quand même en train de jouer au jeu de la prédation, d’un côté ou de l’autre… et souvent dans les deux rôles simultanément.
La prédation ordinaire est tellement banalisée dans tout le tissu relationnel qu’elle n’est la plupart du temps même pas vue, même pas conscientisée comme telle, tant elle est ancrée dans les conditionnements et les habitudes. Comment la définir ? Essentiellement comme le rapt d’énergie à l’extérieur.
D’un point de vue plus élargi, quand on n’est pas impliqué dans une polarisation, on voit bien qu’il s’agit d’une seule chose et pas de deux. La relation proie-prédateur est la prédation. Pas de proie sans prédateur, pas de prédateur sans proie.
Dès qu’on ne rentre plus dans ces rôles, on sort du jeu !
Les 5 clés vont favoriser notre capacité à privilégier et nous maintenir dans la pulsion de vie qui va alors englober les deux autres et ne plus laisser de prise à la peur pour contrôler notre vie.
PRÉDATION ET CRISE SANITAIRE
La crise mondiale sanitaire générée par la peur d’une pandémie a créé un choc intense dans la trame sociale. Le nouveau contrat social soumis à l’acceptation d’un pass et d’une injection a divisé les êtres humains et activé de sombres mémoires de totalitarisme et de ségrégation, et a mis en lumière le rôle de prédateur des élites et de proie des peuples quasiment obligés de se soumettre à des expériences sur leurs corps (confinements, masques, tests, couvre-feu, mesures liberticides, injections de produits d’expérimentation génétique). Ce qui était déjà là mais caché est maintenant mis en lumière, révélé directement dans une offensive sans précédent de la pulsion de mort.
Cette crise a créé un fossé, une division par la peur qu’elle a générée, en dehors comme en dedans. En chacun de nous, on a pu voir à l’œuvre les 3 pulsions, s’exprimant de différentes façons, selon les jours, les situations, les épreuves, les failles, parfois même plusieurs en même temps selon nos conflits internes.
La pulsion de mort est à l’origine de cette crise et à l’offensive, avec ses agents prédateurs zélés au festin. La pulsion de mort a été activée par les fantasmes des élites de nous asservir l’âme et le corps par des technologies mortifères (expérimentations génétiques, 5G, contrôle de la circulation et des activités par le passe électronique – « pacte sanitaire »). Elle a été incarnée par le président lors de ses allocutions, mais aussi par l’essentiel de la classe politique aux ordres, les laquais médiatiques et les experts corrompus. Tous campés dans le mensonge et la manipulation… Une autre dimension de la pulsion de mort chez le prédateur est le sadisme et la jouissance du pouvoir exercé sur l’autre. La perversion s’est exprimée au fil des mois et des annonces soufflant le chaud et le froid, avec la primauté du fait du prince, le mépris des lois constitutionnelles, le matraquage du « sanitairement correct » et la censure sans vergogne de toute parole critique.
La pulsion de survie a été activée par la peur de mourir, d’être malade, de la famine, de perdre notre emploi ou des proches, de sombrer dans la misère, d’être exclu, banni, privé de loisirs. Elle a généré des comportements de repli, de fermeture aux autres, d’accumulation de nourriture et d’objets, d’acceptation de mesures contraignant les corps, les mouvements, les activités. Une grande partie de la population s’est vue hypnotisée par la propagande médiatique et refuse de mettre en doute la probité des États et des laboratoires pharmaceutiques, malgré les scandales connus des décennies précédentes. Pourquoi ? Par refus du changement, désir de « revenir à la vie d’avant », peur d’assumer un conflit, peur d’endosser sa souveraineté et sa liberté de choix et d’en payer le prix. Peur de voir en face, aussi, le mensonge, la manipulation et la malveillance de ceux qui prétendent nous gouverner. Et cela malgré l’accumulation des mesures paradoxales, des discours se contredisant, de l’absurdité des choix médicaux et de l’agressivité des contrôles. En cédant au chantage de la peur ou de la facilité, nous avons donné notre accord pour une aggravation de la prédation, et l’enchaînement des mesures de restrictions sur nos corps et nos libertés… Comme proies, si nous résonnons ainsi, nous avons été subjuguées et avalées tout ronds.
Parfois, la pulsion de survie s’est manifestée par un saut dans l’autre polarité : la bascule dans la pulsion de mort.
Chez certains d’entre nous, cela se manifeste par de la paranoïa, avec la sensation d’être en danger imminent, en train de vivre un génocide et de devoir sauver notre peau, avec les risques de violence inhérents à la paranoïa, qui est une pathologie qui pousse au passage à l’acte. La paranoïa des élites, à l’origine de la crise, a eu un effet de contagion dans une partie de la population, les mettant en résistance mais aussi en peur panique et parfois outrée, délirante à son tour. On a pu voir fleurir des théories extrêmement morbides et mortifères, c’est-à-dire que les fantasmes de mort ont envahi certains et ont obscurci leur discernement, leur bon sens et la vision du réel. Comme proies, si nous résonnons ainsi, nous avons choisi la réponse de l’attaque, de la réaction. Nous résistons, manifestons, protestons, lançons des alertes, éprouvons la nécessité de prévenir et convaincre les autres du danger. Nous sommes en guerre…
Dans un autre registre, la pulsion de mort s’exprime à travers des pensées suicidaires voire des suicides. C’est ici la réponse de la fuite de la proie. Sans forcément aller aussi loin, cette fuite s’exprime aussi par le dégoût, la lassitude, le fait de ne plus vouloir poursuivre comme avant. En dedans, peu d’élan pour participer au jeu social, aux activités familiales, à notre travail, à nos relations, à nos hobbies, ni même à exprimer notre créativité… Ce manque d’élan est parfois total : pas seulement une perte de dynamisme vers les contraintes, mais aussi vers les plaisirs et les activités de détente. La pulsion de mort génère ici de l’inertie par refus de continuer à s’engager dans notre existence telle qu’elle était, mais sans trouver encore la porte du vivant… De plus en plus de personnes rament dans leur vie, ne parviennent plus à maintenir le fil, ne veulent plus continuer leur travail, ne s’engagent plus dans les activités qu’elles pratiquaient d’ordinaire. Ces personnes ne se sont pas engagées dans le « pacte » et se sentent maintenant en porte-à-faux, pas tout à fait dehors mais plus trop dedans… si Quand nous résonnons ainsi, nous voyons l’absurdité de cette civilisation, les mensonges, le manque de sens et d’essence, mais pour le moment nous « ne trouvons pas la sortie » et notre réflexe de fuite est entravé par l’inertie et le manque d’alternative alors nous nous immobilisons… jusqu’à rebasculer dans la survie et se faire manger, ou jusqu’à sortir de la prédation en plongeant dans la pulsion de vie…
Et la pulsion de vie, dans tout ça ? Nous l’avons parfois honorée pendant les confinements par le fait de faire une pause dans les rythmes sociaux habituels, de retrouver le silence, la lenteur, le retour au centre de soi, favorisant la possibilité de l’introspection et du bilan. Nous avons aussi pu la capter à l’issue des moments de crise intérieure, comme retour à la vitalité, connexion à l’essentiel, abandon à l’Être qui nous anime en réalité. Certains parmi nous vivent majoritairement dans la pulsion de vie, en lien de communion avec ce qui nous entoure et guidés par notre voix intérieure transcendante, qui nous anime et nous ressource. Alors nous observons ce qui se passe dans cette crise sans être influencés, sans jouer le jeu, sans participer. Nous sommes avant tout occupés par ce qui nous correspond intrinsèquement, véritablement, et nous ne sommes pas obsédés par la crise actuelle. Toutefois, pour la plupart des personnes, la pulsion de vie est actuellement prise en étau et très diminuée du fait de l’acmé de la crise, de la fatigue psychique et des incertitudes concernant l’avenir social. Et pourtant elle est là, elle est la seule qui soutienne l’expérience de réalité, et dans les profondeurs anonymes la déferlante du vivant se déploie pour générer le nouvel être ensemble.
Pour retrouver notre accès principal et prioritaire à la pulsion de vie, afin que ce soit elle qui guide nos expériences et nos choix, il est important de comprendre la dynamique entre les trois pulsions pour trouver la porte de sortie de la prédation (qui nous maintient dans pulsion de survie versus pulsion de mort en occultant la pulsion de vie).
LA DYNAMIQUE DES PULSIONS POUR FAVORISER L’ÉVOLUTION
Nous avons « besoin » de participer à cette crise polarisée lorsque nous ne sommes pas encore pleinement installés dans la pulsion de vie, dans ce nouvel équilibre de paix du Cœur qui suit le flow en Présence, Conscience, Puissance, depuis notre collecte interne de l’infos nous correspondant.
Je l’ai déjà évoqué à plusieurs reprises : pour changer d’équilibre, il y a plusieurs manières de procéder.
Idéalement, lorsqu’on est connecté à sa guidance interne, on règle ses affaires : on harmonise notre situation, on la pacifie, on la termine, on offre l’expérience au Grand Tout puis on ouvre une porte et on la franchit vers un nouvel horizon, une nouvelle étape de la vie intérieure et extérieure. C’est le passage du 8 au 9, du 8/∞ au 3-6-9, du huit au neuf, de la nuit au nouveau. Cela permet une transition fluide, mais demande beaucoup de foi et l’acceptation consciente de ne pas contrôler ce qui s’en vient.
De fait cela est rarement vécu par les êtres humains aujourd’hui, qui ont besoin de problèmes, de crises, d’épreuves et de malheurs pour être forcés au changement. Dans ce cas-là, nous n’accompagnons pas le changement en suivant la guidance intérieure mais nous y sommes contraints par la force des événements extérieurs. Et de subir cela nous fait nous poser en « victimes de la vie »… et nous blâmons « le monde », « la crise » ou autre, c’est-à-dire un coupable extérieur considéré responsable de nos vicissitudes.
Alors que la vie est mouvement, transformation, changement. La vie ne s’arrête pas, ne reproduit pas, ne compte pas, ne mesure pas. Et pour manifester ses cycles évolutifs, elle crée la survie et la mort, comme deux auxiliaires nécessaires à ses mouvements. La survie pour maintenir une forme dans une certaine stabilité, une homéostasie ; la mort pour détruire une forme ancienne, qui n’est plus adaptée, ce qui permettra de faire le vide avant de pouvoir emplir à nouveau. La vie ne blâme ni la survie ni la mort, ce sont ses outils.
Le seul souci est dans l’emprisonnement mental humain qui ignore la réalité de la vie et croit qu’il est ballotté entre mort et survie, parce qu’il a oublié qu’il est issu de l’Esprit et non de la Matière, qu’il est information avant d’être forme.
Alors il a besoin d’un parcours pour retrouver le fil de la vie, et ce parcours passe par la pulsion de survie (l’enfance), puis la pulsion de mort (l’adolescence), avant de s’ouvrir à la pulsion de vie (l’âge adulte).
Les deux pulsions polarisées sont régies par la peur et maintenues en forces contraires, ce qui enferme et restreint les possibilités. Elles sont engagées dans l’expérience de séparation, de vision matérialiste et nihiliste. Cela se manifeste, au niveau des forces, par le champ électromagnétique agité, qui nous maintient en tension, en hypnose, en focalisation.
Pour sortir de la polarisation, il est important de ne pas comprendre les pulsions de vie, mort, survie d’un point de vue moral, de les extraire de la dualité bien/mal racontée par la prédation. Elles ont chacune leur place et leur importance dans la dynamique de la vie.
En termes d’équilibres :
– la pulsion de survie correspond à un équilibre institué ;
– la pulsion de mort correspond à la transition d’un ancien équilibre vers un nouveau ;
– la pulsion de vie correspond à la création d’un nouvel équilibre plus harmonieux.
Lorsqu’on comprend cela, on voit le mécanisme trinitaire qui permet de sortir d’un ancien cycle duel pour passer à un nouveau cycle unitaire.
Pour passer de la dualité des contraires à la trinité émancipatrice et unificatrice, nous reconnaîtrons la pulsion de vie comme la dynamique la plus importante, et nous alignerons les deux autres dessus.
Parfois il faut modifier un équilibre pour faire advenir le nouveau, c’est le PRINCIPE MÊME DE L’ÉVOLUTION. Changer d’équilibre implique de rompre avec l’ancien équilibre, et ici s’active la pulsion de mort (destruction) pour qu’il puisse y avoir changement de forme, mais elle est subordonnée à la pulsion de vie, elle est un outil de transition et pas le maître du processus.
De même la pulsion de survie est indispensable : c’est le gardien du corps physique et de la possibilité de l’existence sur le plan matériel. Elle doit être prise en compte et honorée. Il faut juste l’aligner sur la pulsion de vie et ne pas souscrire à la croyance que nous sommes limités à nos corps. Elle permet de ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain.
En intégrant la pulsion de mort et la pulsion de survie comme auxiliaires au service de la pulsion de vie, l’ancienne dualité est transcendée.
Avec la pratique et la présence, nous apprenons à maintenir une cohérence interne à chaque instant, à ne pas nous laisser emprisonner dans la dualité mort/survie mais à aller de plus en plus dans le sens libertaire de la vie, dans l’énergie spiralée et non plus polarisée, depuis l’alignement sur les clés de respect, équanimité, joie sans objet, œuvre commune et souveraineté, qui garantiront l’absence de prédation.
Nous devenons maître de la dynamique des trois pulsions de la libido en ne nous laissant pas gouverner par la peur, qui est le levier principal des pulsions de mort et survie, et en nous maintenant, en demeurant dans la présence au Cœur. En paix et simplicité.
En choisissant consciemment la pulsion de vie et en alignant les deux autres pulsions au service de la pulsion de vie, on change de paradigme et de réalité expérimentée. L’ancien couple de contraires est mis au service de la coopération, l’œuvre ensemble.
Ainsi nous cessons d’être sous influence, d’offrir notre énergie et notre attention au psychodrame social. Nous comprenons qu’il se joue actuellement car un grand nombre d’êtres humains acceptent de s’engager dedans, mais que nous n’y sommes pas forcés, dès lors que nous nous connectons au bon endroit de notre structure. Nous retrouvons pleine confiance dans les mouvements du vivant pour aller vers le nouvel équilibre, et nous nous appliquons à surfer les vagues depuis la pleine expression de nos signatures vibrantes et vivantes.
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