BAS LES MASQUES !
Nous sommes soumis à une expérience sociale majeure, de celles qui préfigurent soit l’évolution, soit la dictature.
Contraindre les personnes à porter un masque en toutes circonstances revient à tester combien la population est prête à obéir à tout et n’importe quoi.
Revenons aux faits : il n’y a pas d’épidémie gravement mortelle et contagieuse en France, cela est un leurre. Il y a certes des vagues de symptômes pouvant être violents, et parfois déboucher sur une crise aiguë du corps physique, mais cela se produit pour des personnes dont l’état de santé était auparavant défectueux, et la mortalité en France est moins importante que les années précédentes.
Nous sommes loin, très loin des épidémies de peste ou de la grippe espagnole qui ont décimé les populations autrefois. Or la propagande tente de nous faire croire que nous sommes dans les mêmes conditions et que nous sommes en péril imminent. Cela est FAUX.
L’enjeu véritable est celui de nous faire sombrer dans la peur afin de nous soumettre et de nous diviser en tant qu’humanité. C’est une guerre de l’astral contre les êtres humains, de l’illusion mortifère contre la réalité de la pulsion de vie.
Il y a plusieurs regards avec lesquels observer cette situation.
Du point de vue de ceux qui dirigent le système capitaliste prédateur hiérarchisé, cette peur déclenchée est l’occasion idéale de briser la puissance des peuples en isolant et effrayant les personnes, en nous affaiblissant, nous divisant, nous infantilisant, afin d’imposer toujours plus d’exploitation et de contrôle.
Du point de vue évolutif, nous sommes à l’entrée d’une grande transition qui nous demande d’assumer nos responsabilités en tant qu’êtres humains adultes, autonomes et souverains, capables de consentement éclairé et interdépendants, doués d’une vision et d’une intelligence globales.
Pour réussir cette transition, nous passons par une série d’épreuves nous demandant de nous positionner vis-à-vis de la propagande de peur, de passer les seuils et de rester intègres et centrés, debout et libres.
Observons. Nous avons traversé :
– la peur d’être malade, de souffrir de symptômes violents ;
– la peur de mourir et de laisser nos proches ;
– la peur que nos proches soient touchés et meurent ;
– la peur de manquer de ressources (la fameuse traque du papier toilette) ;
– la peur de la solitude pendant le confinement ;
– la peur de l’enfermement ;
– la peur de sortir retrouver le bruit et la fureur, l’agitation, lors du déconfinement ;
– la peur économique de perdre son travail, son logement ;
– la peur de « contaminer » les autres (la culpabilité que si tu ne portes pas de masque, tu assassines ta grand-mère…) ;
– la peur de l’amende si nous n’obéissons pas aux lois et décrets ;
– la peur d’être agressés si nous ne nous conformons pas aux lois et décrets (vendeurs zélés ou victimes de syndrome d’injustice ; injonction du troupeau qui enjoint à la nouvelle normalité même kafkaïenne) ;
– la peur d’être désignés comme déviants, irresponsables si nous refusons d’obéir (peur du bannissement) ;
– la peur d’être entraînés vers une dictature sans qu’il y ait de mouvement collectif qui s’y oppose ;
– la peur d’être impuissant à proposer une alternative à ce raz-de-marée de l’absurde ;
– la peur de constater que les « masses » acquiescent et adhèrent à ce cirque, lui accordent croyance et crédit, y obéissent sans comprendre que c’est une mascarade ;
– la peur d’expériences génétiques et de vaccins forcés, de puces de contrôle et de tout le transhumanisme.
Toutes ces épreuves nous mettent face à l’atavisme, à la grégarité, à la pulsion de survie, à l’impuissance, à l’implication dans une chaîne d’obéissance à la hiérarchie, fût-ce à des contraintes absurdes et contradictoires. Cela nous confronte à nos limites, à notre propre responsabilité de savoir comment nous positionner dans la justesse à chaque instant, selon les situations.
Observons-nous : y a-t-il encore parmi ces épreuves de peur certaines que nous n’avons pas dépassées ? Si oui, pouvons-nous plonger dedans et les transmuter depuis le feu du Cœur ?
Cela nous emmène aussi vers une compréhension plus poussée des filtres. Le masque symbolise le filtre. L’imposition du masque est très violente au niveau symbolique :
Nous y sommes muselés : « soyez dociles ! »
Nous y sommes diminués dans notre liberté d’expression : « taisez-vous ! » (si vous dérogez à la parole officielle).
Nous y sommes cachés : plus d’expressions de nos émotions, de nos sentiments, tout cela s’exprimant dans le bas du visage.
Nous y sommes bornés dans nos communications : difficile de se comprendre avec tant de filtres, et les habitudes de lire en grande partie sur les lèvres ce qui est dit pour mieux le comprendre.
Nous y sommes déshumanisés, robotisés.
Nous y sommes enfermés dans une boucle perverse qui essaie de nous faire croire que porter le masque est faire preuve de responsabilité et de solidarité : C’EST TOUT LE CONTRAIRE ! le consentement réel est en train d’être balayé ; la division et la suspicion augmentent.
Nous y sommes contraints à l’absurde : aucun masque de tissu ou de simple plastique n’empêcherait une charge de la taille d’un virus de circuler, c’est comme dresser des mailles avec des piliers tous les 100 m et faire croire que nous ne pouvons pas passer à travers !
Nous y sommes comptabilisés comme acceptant d’obéir à l’absurde et donc prêts à déléguer l’ensemble de notre pouvoir sans protester.
Nous y sommes affaiblis, renfermés, intoxiqués.
L’expérience montre que la propagande et la peur conduisent les troupeaux humains à l’absurde. Les comportements de masse ne sont pas les mêmes que les comportement individuels, et nous devons prendre soin de nos usages collectifs pour œuvrer dans l’interdépendance et le respect de chacun.
Combien d’entre nous ne mettent pas de masque dans les cadres privés, mais se forcent à le faire dans le domaine public, juste pour être tranquilles et se conformer à la prescription sociale de la mascarade ?
Et pourtant la force de la masse est immense ! Mais si elle est canalisée et utilisée par le haut de la pyramide hiérarchique pour ses intérêts (qui sont contraires au plus grand bien de tous et au respect du vivant), nous sommes manipulés et toute notre puissance humaine est détournée dans de grands flux qui génèrent des lignes de réalité par l’adhésion des consciences !
La force de la masse est plus puissante que l’ensemble des forces individuelles. C’est pourquoi nous devons nous reconnaître en tant que collectif humain et prendre soin de ce qui est vibré par ce collectif.
Passer de l’idée/expérience de la « masse » manipulable par les forces astrales à l’interdépendance des Présences-Consciences-Puissances éclairées et souveraines, œuvrant dans le « un pour tous, tous pour un » depuis l’horizontalité, la liberté et le soin au vivant.
À notre niveau, pouvons-nous favoriser des initiatives créant du lien, du collectif, de l’interdépendance, du vivant, du joyeux, du créatif ? D’autres manières d’être ensemble ?
Pouvons-nous initier des expériences collectives hors de l’influence de la propagande de peur et de l’obéissance à l’absurde ?
Avons-nous encore notre consentement ? Le pouvoir souverain de dire « oui » ou « non » et d’assumer nos choix ?
Certains passages de l’expérience sont délicats, cette croisée des chemins nous demande du courage et d’expérimenter notre puissance dans la création de la réalité.
HAUT LES CŒURS !
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