L'Amour partout
Le grand défi de la porte du cœur
Qu’est-ce donc que l’Amour ?
L’Amour n’est pas ce que nous croyons dans le cadre
de la personnalité séparée.
Dans ce cadre, bien souvent, c’est la PEUR
qui a usurpé le nom d’Amour.
Peur d’aimer et de ne pas aimer ; peur d’être aimé
et de ne pas être aimé
Peur d’être abandonné, trahi, rejeté, incompris
Peur de réussir et peur d’échouer, peur de l’inconnu
Peur de souffrir et peur de mourir, peur du risque, peur de vivre
Peur de manquer d’amour, amour sacrifice, amour sacrifié, amour victime
Amour intéressé, amour conditionnel, amour vampire
Amour haine, amour jalousie, amour persécuté
Amour prison, amour attaché, amour propriétaire, amour dépendant
Amour égoïste, amour manipulateur, amour pervers, amour séducteur
Amour chimérique, amour illusion, amour transfert
Ici la peur prend le nom d’amour dans les croyances
des personnalités, ce sont des croyances toxiques soutenant
des drames intérieurs du passé non résolus.
Elles ne concernent pas que les couples unis par une relation
de sexe mais toutes sortes de relations familiales, amicales, ponctuelles ou intimes.
Tous ces « amours » considèrent l’autre comme un objet
ou une source d’énergie où puiser. Ils ignorent que la source
de l’Amour jaillit en soi-même.
Ce qu’est l’Amour :
le grand Champ de vie consciente
L’Amour est la plus grande force de l’Univers,
elle est conscience, harmonie, ordre, paix.
Pour ce que je peux en comprendre et ressentir actuellement : c’est la fréquence majeure, un champ nourricier,
un niveau de conscience, un état d’être.
Lié au cœur, il propulse littéralement dans une autre sphère,
dans une autre manière de croire et d’expérimenter la vie,
dans un autre paradigme, dans une autre saveur sensorielle.
L’Amour est la nourriture de la vie. Il nourrit les êtres vivants
par des informations harmonieuses de perfection et de connexion au grand champ de toute vie, il illumine, informe, répare, régénère.
Au niveau de l’être humain, il est expérimenté individuellement, jaillissant de l’intérieur et non donné par l’extérieur,
avec la nuance qu’on peut se syntoniser plus facilement
en présence de personnes émettant consciemment ce champ,
et que des personnes l’émettant volontairement conjointement décuplent sa puissance.
Il est présent partout mais une grande joie de l’être humain christique est de l’émettre à destination de toute vie,
en conscience, ce qui fait monter tous les champs vibratoires
des êtres vivants de l’espace informé.
Dans le corps physique, en se connectant à ce champ,
des réactions hormonales et cérébrales procurent
un très grand bien-être et l’apaisement,
et réinforment les divers corps de la personnalité
expérimentant (physique, éthérique, émotionnel, mental).
Se connecter à l’Amour, c’est se connecter à Dieu ;
c’est la reliance au Tout.
C’est-à-dire sortir du champ paradigme de la séparation,
se fondre avec délice dans l’Unité expérimentant la multitude.
Il vient par l’intérieur, de la connexion énergétique ciel-terre, réunie dans le cœur.
Il est d’essence divine, pour l’humain c’est l’ouverture du chakra du cœur qui permet de l’expérimenter.
La sublimation créative
des paradoxes et des distorsions
Comment installer l’expérience de l’Amour dans tous les aspects de la vie, dans tous les ici/maintenant ; comment faire descendre
la lumière dans la matière, le ciel sur la terre ?
L’Amour n’est pas une relation, même si une relation
peut se connecter sur cette fréquence. Or la personnalité humaine traverse une grande part de ses expériences dans le champ relationnel.
Comment aider la personnalité à se connecter à l’Amour
dans toutes ses relations humaines, quelles que soient
les circonstances et quels que soient les humains ?
De multiples expressions et nuances de l’Amour existent
pour aider l’humain à transmuter les souffrances
et les distorsions qu’il ressent tant à l’intérieur
que dans le monde extérieur/relationnel :
– la foi, la compréhension intime profonde que l’Amour est partout, infiniment disponible, éclaire qu’il ne dépend pas d’un tiers que nous aimions et soyons aimé ;
– l’acceptation de se confronter à ses « drames » intérieurs permet de prendre toute sa responsabilité pour les soigner
et guérir ;
– le discernement, harmonisation de la gamme naïveté/cynisme, permet d’avoir une vue d’ensemble lucide avec du recul
sur les circonstances ;
– l’engagement intègre et la clarté des motivations permettent
de garder son cap et ses priorités ;
– la miséricorde, Amour maternel en grâce, permet
la renonciation et la rédemption ;
– la bénédiction, œuvre sublime, transcende tous les défis ;
– le pardon, envers soi-même puis envers l’autre, actualise
le champ d’expériences allégé ;
– la compassion induit la reconnaissance intime d’avoir traversé et connu les états dissonants que l’on peut reconnaître
chez un autre ;
– la compréhension de l’autre comme miroir construit
la fraternité et l’entraide ;
– le détachement, la neutralité, la non-implication
dans les drames de l’autre, subliment le jugement
et laissent à chacun sa part ;
– le respect des choix d’autrui, la tolérance, aident
à une compréhension plus vaste des possibilités humaines ;
– la création/invention ou même l’application de protocoles conscients associent l’âme et la personnalité, pour désamorcer
les provocations et ne plus emprunter les vieux chemins éculés ;
– l’émission des fréquences associées à l’Amour : joie, harmonie, paix, gratitude, beauté, sagesse, inspiration créatrice, construisent le nouveau monde à chaque instant.